• Les Grenadines-Canouan

     Canouan

      Presque aussi grande que Béquia, cette île fut au siècle dernier grâce à la pêche, très animée et active.

              Aujourd'hui elle   donne l'impression de végéter car à part les deux hôtels et les quelques bateaux de passage,

             il n'y pas grand débouché.

    Les Grenadines- CanouanLes Grenadines- Canouan

     A l'entrée du mouillage de Charlestown Bay, nous sommes accueillis par Jhon, homme très courtois et aimable. Il nous propose une bouée, nous déclinons son offre, mais il n'en prend pas ombrage et nous accompagne vers l'endroit où nous mettons l'ancre.

     Descente à terre, nous débarquons au ponton du « Tamarind Beach ».

    Les Grenadines- Canouan

    Les Grenadines- CanouanLes Grenadines- Canouan

     Il faut traverser cet endroit pour faire un tour dans le village, c'est vite fait quelques maisons, des bâtiments administratifs, une banque. Personne à part un âne.

     

    Les Grenadines- Canouan

    Les Grenadines- CanouanLes Grenadines- Canouan

     Lorsque nous sommes passés en 1995, nous étions le seul bateau dans la baie,l'hôtel venait d'ouvrir ( investisseurs Italiens ) ils avaient également ouvert une école, pour former les habitants aux métiers de l'hôtellerie ; bonne idée ! cela a dû porter ses fruits car nous y avons croisé que des locaux travaillant dans cet hôtel.

     Une piña colada dans le joli bar-restaurant.

    Les Grenadines- Canouan

    Les Grenadines- CanouanLes Grenadines- Canouan

     En repartant, sur le ponton nous négocions avec un pêcheur, 3 langoustes pour le lendemain matin neuf heures.

    Les Grenadines- Canouan


     

    Les Grenadines- CanouanLes Grenadines- Canouan

                                   10 h nous levons l'ancre, mais point de pêcheur et encore moins de langoustes, dommage ! 

    Les Grenadines- Canouan     Remontée sur Béquia

     Sur notre tribord défilent : Petit Moustique, Moustique ( l'île des milliardaires), elle n'a pas été aménagée pour la        plaisance, mais lotie par un promoteur Anglais pour des clients fortunés ; Parmi les plus belles propriétés celle de la  Princesse Margaret. Par contre une promenade emmène jusqu'à une ancienne plantation de coton rénovée et transformée en hôtel de luxe, bien sur !!.

     

     Au nord de cette île on aperçoit la carcasse rouillée du paquebot « Antilles » échoué en 1971, elle est maintenant bien  affaissée.

     

      Nous passons Baliceau, et Battowia : îles désertes et dénudées, les mouillages ne sont pas protégés et les courants y sont violents, seuls les pêcheurs de Béquia les fréquentent. Baliceau fût pendant quelques temps un camp d'internement, les Anglais y enfermèrent les « Blacks Caribs » avant de les déporter au Honduras.

     Petit Névis :

    Îlet de quelques km² situé à moins d'1 mille de Béquia, elle a servit aux chasseurs de baleines.

     La chasse à la baleine interdite de nos jours, mais qui à fait la fortune de Béquia : Thomas Wallace, jeune pêcheur de l'île, apprit sur les côtes du Massachusetts le métier de pêcheur de baleines. Il revint à Béquia en 1870, y développa cette pêche. En 1880 Béquia comptait 6 pêcheries de Baleines. Dans les années 20, suite à la diminution des cétacés, Béquia subit une catastrophe économique.

                       Prochaine escale Béquia

     

     

     

     

     

     

    « Les Grenadines- MayreauLes Grenadines- Béquia »
    Google Bookmarks Blogmarks

    Tags Tags : , , , , , , , , , , , , ,